Au lieu de trouver des réponses réelles aux crises environnementales, sociales et démocratiques, le gouvernement français préfère mettre en prison les militant·es et interdire les mouvements critiques envers le modèle agro-business extractiviste. Ce matin, nous avons appris que deux porte-paroles de la Confédération Paysanne ont été placés en garde à vue, ce qui est tout simplement inacceptable.
