Le Comité international de planification pour la souveraineté alimentaire (CIP) craint une détérioration des relations FAO-parties prenantes

Le Comité international de planification pour la souveraineté alimentaire (CIP) craint une détérioration des relations FAO-parties prenantes

Nous assistons actuellement à une régression dans les relations de la FAO avec les parties prenantes. La participation des parties prenantes est devenue de moins en moins structurée, ad hoc et à la merci de gestionnaires décentralisés qui n’ont pas de comptes à rendre sur les précédents ou les principes mutuellement convenus, y compris les échanges de lettres, et encore moins sur la stratégie de la FAO pour le partenariat avec la société civile.